J'ai d'ailleurs décidé de commencer de la façon la plus illogique possible, parce que j'aime embrouiller le peuple :D
J'espère que vous aller apprécier ce style, ma façon d'écrire étant peu conventionnelle il faut l'avouer, je prie pour que cela ne me porte pas tort, d'autant que l'écriture n'est pas la chose que je préfère, je reste un correcteur dans l'âme.
Un petit rappel de qui est Cute pour ceux qui ne seraient pas de fidèles lecteurs de la fic d'Anigma ; "Entités".
Nom : Cute ou entité 11
Âge : 29 ans
Genre : Gijinka femelle
Profession : Tueuse professionnelle
Lieu de résidence : Inconnu
Point fort : Sa beauté, sa sournoiserie, précise et méthodique dans son art.
Point faible : N'accepte de tuer que des humains.
Particularité: À rejoint l'ordre de son plein gré.
Attaques connus :
Lame-feuille
Eco-sphère
Synthèse
Vive attaque
Puissance cachée
Attraction
Giga-sangsue
Coupe
Siffl'herbe
Capacité :
Feuille Garde
Pour mon plaisir personnel, le texte original envoyé à l'occasion du concours de personnage pour la fic "Entités".
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22 juillet 2020
Tchak !
Mon cher journal, pourquoi ce bruit me procure toujours autant de plaisir ?
Voir rouler une partie d'un corps humain jusqu'à atteindre le pied d'un meuble puis s'arrêter dans un bruit sourd, c'est si...Jouissif !
Son regard encore empli d'horreur contre le bois dur de la commode, la tête du secrétaire à la défense de Sinnoh venait de tomber. Pourquoi ? Pour quelle raison aies-je fait cela ?Un contrat est un contrat et tuer des humains est un plaisir indescriptible pour moi, entité 11.
Déjà quatorze ans que j'effectue ce genre de contrat, mais qui suis-je en réalité pour toi mon cher journal ?
Je ne suis qu'une Gijinka phyllali répondant au nom de Cute ou entité 11 pour l'ordre. J'ai vingt-neuf ans, des cheveux mi-long de la blondeur des blés, orné d'une feuille d'un vert « mer moyen », plongeant telle une cascade vers mon visage, ma queue ainsi que mes oreilles sont de la forme d'une feuille de la même couleur que celle ornant ma tête. Toujours vêtue d'une robe de couleur jaune-verte, ma peau d'un beige clair contrastant parfaitement avec celle-ci, tout comme mes longs gants et mes bottes marron.
Je suis une aberration d'Arceus selon certains mais qu'importe, je vis dans ce monde pour une raison, mon devoir de rester en vie coûte que coûte, pour me venger, détruire les humains qui m'ont fait tant souffrir, même si à l'heure d'aujourd'hui, la vengeance n'est qu'une excuse pour abreuver ce besoin que cela me procure de faire couler le sang humain.
Dans ma jeunesse, il y a de cela 18 ans, je n'avais pas ce sentiment de haine envers eux, j'étais même heureuse, une petite adolescente insouciante, une Gijinka evoli qui vivais une vie paisible avec ses parents dans une petite maison aux abords de la forêt de Vestigion.
Malheureusement, être Gijinka dans ce monde n'était pas du goût de tous ses habitants... Un groupe d'humains mis fin à mon bonheur le jour de mes onze ans.
J'étais partie me balader en forêt, comme à chacun de mes anniversaires ma mère prétextait qu'il lui fallait des baies Fraive, qui bien sur ne poussait pas dans les environs. C'était devenu un rituel, qui au final me sauva la vie...
Revenant vers la maison en sifflotant, je sentis une odeur de brûlée, relevant la tête, des flammes et de la fumée montait vers le ciel, il s'agissait de ma maison... courant aussi vite que mon corps me le permettait vers celle-ci, je ne pus que constater le carnage, mes parents, cloués contre le mur, le corps à moitié calciné.
Je me tournais vers la route en contrebas, les larmes roulant sur mes joues, espérant au fond de moi que des gens viendraient nous aider en voyant le feu au loin, mais tout ce que je vis fût un 4x4 avec à son bord des humains qui riaient à gorge déployé en levant leurs armes vers le ciel...
Ce jour là, fût le jour ou je pris la résolution la plus importante de mon existence, la règle qui dicterait ma conduite jusqu'à la fin, je détruirais tous les humains ! Mais pour accéder à ce rêve il me fallait devenir forte, je le devais, durant un an je vécue seule, m’entraînant chaque jour, jusqu'à évoluer en Gijinka phyllali, à ce moment-là je pus réellement commencer à mettre mon projet à exécution, apprenant par moi-même les attaques de type plante les plus dévastatrices en prévision de mes futurs exactions.
Le premier humain qui passa était un jeune dresseur qui débutait son parcours initiatique, je revois encore ses yeux empli d'étonnement quand sortant du buisson avec rapidité, ma main se développa pour prendre l'apparence d'une lame-feuille qui découpa son bras, il tenait encore sa pokeball en main croyant se préparer à capturer un pokemon. J'étais entrée en transe, d'un geste fluide ma main transformée bifurqua, coupant le second bras qui alla rejoindre le premier au sol, rapidement accompagné par ses jambes. Il ne restait de lui qu'un corps agonisant sur le sol se vidant de son sang. Il n'eut pas le temps de crier, l'éco-sphère que j'avais chargé de ma main libre lui obstrua l'entrée de sa bouche, faisant ainsi exploser sa misérable petite tête. Je restais là, devant les restes de ce corps sans vie, un sourire jusqu'aux oreilles, j'avais pris un réel plaisir à faire ça, c'était si simple, les humains sont si faible, c'était presque trop facile.
Je repris néanmoins mes esprits peu après, sentant goutter le sang le long de la feuille qui retombait sur mon front, il fallait cacher le corps ou le détruire complètement, sinon il serait découvert, c'était certain. Je chargeais donc une nouvelle éco-sphère, plus puissante que la première, détruisant ainsi toutes les preuves de ce carnage.
Ma vengeance était en marche !
Durant près de trois ans je commis ces exactions en toute impunité, ma force augmentant c'était de plus en plus simple pour moi, c'est d'ailleurs en tuant un de ces foutus apprenti dresseur que je fus repérée. Je croyais que ce Gijinka allait essayer de défendre l'humain, mais il n'en fit rien, il resta là, me regardant découper avec précision chacun des membres du corps de ce garçon. Mon mode opératoire était toujours le même, rapide et efficace tout en infligeant un maximum de douleur à l'humain sous les coups de ma lame-feuille.
Une fois toute trace de l'humain nettoyé, il se décida à avancer vers moi prudemment changeant mon destin pour un avenir de carnage plus grand que je n'aurai pu l'imaginer.
Durant ces trois ans, la vengeance avait laissé la place au plaisir du sang, je ne me souviens même plus du visage de mes parents, pour moi, il n'y a que le plaisir de faire souffrir les humains qui compte à présent.
Voilà qui je suis mon cher journal, ainsi que le résumé de ce qui changea ma vie.
Il y a de cela quatorze ans aujourd'hui, avec pour seule condition de ne tuer que les humains, j'entrais de mon plein gré dans ce qui deviendrait mon foyer, ma nouvelle famille, l'ordre des entités.
22 juillet 2020
Tchak !
Mon cher journal, pourquoi ce bruit me procure toujours autant de plaisir ?
Voir rouler une partie d'un corps humain jusqu'à atteindre le pied d'un meuble puis s'arrêter dans un bruit sourd, c'est si...Jouissif !
Son regard encore empli d'horreur contre le bois dur de la commode, la tête du secrétaire à la défense de Sinnoh venait de tomber. Pourquoi ? Pour quelle raison aies-je fait cela ?Un contrat est un contrat et tuer des humains est un plaisir indescriptible pour moi, entité 11.
Déjà quatorze ans que j'effectue ce genre de contrat, mais qui suis-je en réalité pour toi mon cher journal ?
Je ne suis qu'une Gijinka phyllali répondant au nom de Cute ou entité 11 pour l'ordre. J'ai vingt-neuf ans, des cheveux mi-long de la blondeur des blés, orné d'une feuille d'un vert « mer moyen », plongeant telle une cascade vers mon visage, ma queue ainsi que mes oreilles sont de la forme d'une feuille de la même couleur que celle ornant ma tête. Toujours vêtue d'une robe de couleur jaune-verte, ma peau d'un beige clair contrastant parfaitement avec celle-ci, tout comme mes longs gants et mes bottes marron.
Je suis une aberration d'Arceus selon certains mais qu'importe, je vis dans ce monde pour une raison, mon devoir de rester en vie coûte que coûte, pour me venger, détruire les humains qui m'ont fait tant souffrir, même si à l'heure d'aujourd'hui, la vengeance n'est qu'une excuse pour abreuver ce besoin que cela me procure de faire couler le sang humain.
Dans ma jeunesse, il y a de cela 18 ans, je n'avais pas ce sentiment de haine envers eux, j'étais même heureuse, une petite adolescente insouciante, une Gijinka evoli qui vivais une vie paisible avec ses parents dans une petite maison aux abords de la forêt de Vestigion.
Malheureusement, être Gijinka dans ce monde n'était pas du goût de tous ses habitants... Un groupe d'humains mis fin à mon bonheur le jour de mes onze ans.
J'étais partie me balader en forêt, comme à chacun de mes anniversaires ma mère prétextait qu'il lui fallait des baies Fraive, qui bien sur ne poussait pas dans les environs. C'était devenu un rituel, qui au final me sauva la vie...
Revenant vers la maison en sifflotant, je sentis une odeur de brûlée, relevant la tête, des flammes et de la fumée montait vers le ciel, il s'agissait de ma maison... courant aussi vite que mon corps me le permettait vers celle-ci, je ne pus que constater le carnage, mes parents, cloués contre le mur, le corps à moitié calciné.
Je me tournais vers la route en contrebas, les larmes roulant sur mes joues, espérant au fond de moi que des gens viendraient nous aider en voyant le feu au loin, mais tout ce que je vis fût un 4x4 avec à son bord des humains qui riaient à gorge déployé en levant leurs armes vers le ciel...
Ce jour là, fût le jour ou je pris la résolution la plus importante de mon existence, la règle qui dicterait ma conduite jusqu'à la fin, je détruirais tous les humains ! Mais pour accéder à ce rêve il me fallait devenir forte, je le devais, durant un an je vécue seule, m’entraînant chaque jour, jusqu'à évoluer en Gijinka phyllali, à ce moment-là je pus réellement commencer à mettre mon projet à exécution, apprenant par moi-même les attaques de type plante les plus dévastatrices en prévision de mes futurs exactions.
Le premier humain qui passa était un jeune dresseur qui débutait son parcours initiatique, je revois encore ses yeux empli d'étonnement quand sortant du buisson avec rapidité, ma main se développa pour prendre l'apparence d'une lame-feuille qui découpa son bras, il tenait encore sa pokeball en main croyant se préparer à capturer un pokemon. J'étais entrée en transe, d'un geste fluide ma main transformée bifurqua, coupant le second bras qui alla rejoindre le premier au sol, rapidement accompagné par ses jambes. Il ne restait de lui qu'un corps agonisant sur le sol se vidant de son sang. Il n'eut pas le temps de crier, l'éco-sphère que j'avais chargé de ma main libre lui obstrua l'entrée de sa bouche, faisant ainsi exploser sa misérable petite tête. Je restais là, devant les restes de ce corps sans vie, un sourire jusqu'aux oreilles, j'avais pris un réel plaisir à faire ça, c'était si simple, les humains sont si faible, c'était presque trop facile.
Je repris néanmoins mes esprits peu après, sentant goutter le sang le long de la feuille qui retombait sur mon front, il fallait cacher le corps ou le détruire complètement, sinon il serait découvert, c'était certain. Je chargeais donc une nouvelle éco-sphère, plus puissante que la première, détruisant ainsi toutes les preuves de ce carnage.
Ma vengeance était en marche !
Durant près de trois ans je commis ces exactions en toute impunité, ma force augmentant c'était de plus en plus simple pour moi, c'est d'ailleurs en tuant un de ces foutus apprenti dresseur que je fus repérée. Je croyais que ce Gijinka allait essayer de défendre l'humain, mais il n'en fit rien, il resta là, me regardant découper avec précision chacun des membres du corps de ce garçon. Mon mode opératoire était toujours le même, rapide et efficace tout en infligeant un maximum de douleur à l'humain sous les coups de ma lame-feuille.
Une fois toute trace de l'humain nettoyé, il se décida à avancer vers moi prudemment changeant mon destin pour un avenir de carnage plus grand que je n'aurai pu l'imaginer.
Durant ces trois ans, la vengeance avait laissé la place au plaisir du sang, je ne me souviens même plus du visage de mes parents, pour moi, il n'y a que le plaisir de faire souffrir les humains qui compte à présent.
Voilà qui je suis mon cher journal, ainsi que le résumé de ce qui changea ma vie.
Il y a de cela quatorze ans aujourd'hui, avec pour seule condition de ne tuer que les humains, j'entrais de mon plein gré dans ce qui deviendrait mon foyer, ma nouvelle famille, l'ordre des entités.
Enfin bref, ça vous l'avez déjà lu normalement, autant mettre quelque chose de nouveau et légèrement différent, j'espère que ça vous plaira tout autant que le premier texte.
Texte masqué. Clique pour Afficher / Masquer
Ce texte n'est pas totalement imaginé par moi même, mais disons que la base m'a tellement inspiré que j'ai voulu absolument écrire dessus.
Les aléas de la vie, ou simplement la vie ?
Labo de safrania
La vie est parfois bizarre…
On peut passer une vie entière sans que quoi que se soit de notable n’arrive… Ou avoir une vie pleine de péripéties toutes plus incroyables les unes que les autres… Ou un mélange des deux…
Moi par exemple. Je me réveille tôt ce matin comme à mon habitude, je jette un coup d’œil blasé au mobilier spartiate de ma chambre de métal. Depuis combien d’années ais-je ce genre d’appartement? Je ne me souviens même plus. Passant rapidement une blouse blanche sur mon pull vert, je sors tout aussi vite, saluant d’un léger signe de tête mon garde du corps/protecteur/geôlier qui m'emboîte le pas sans dire un mot. Il faut reconnaître qu'il y a de nombreux « avantages » à ma fonction. Je passe rapidement devant le mess de la section plante pour me diriger vers mon laboratoire.
Cela me prends plusieurs minutes, comme chaque jour. Cette forteresse est tellement immense.
Lorsque enfin j'arrive, mon humeur maussade s’améliore quand même lorsque je pose mes yeux pas encore tout à fait bien réveillé sur les installations. La crème de la technologie assurément, ainsi qu’une équipe de chercheur parmi les meilleurs des meilleurs. Et le plus agréable, c’est que c’est moi, oui, moi le chef, le patron, l'amiral à bord.Dans ce laboratoire, il n’y a plus de Giovanni qui tienne, le boss, c’est moi !
Il faut quand même admettre que j'en ai bavé pour en arriver là.
J'ai travaillé si dur toute ma vie pour en arriver a être finalement sélectionné pour venir ici, dans ce laboratoire secret, dans le bastion du patron lui-même il y a maintenant deux ans.
Bien sur, toute médaille à son revers, et la ville elle-même est le plus gros revers que vous ayez jamais vu… De la rocaille, des pluies continuelles… Un coup de chance, la concentration de scientifiques dans les locaux de la forteresse à convaincu Giovanni d’installer des compartiments différents selon les gijinka et humains présents dans toute la structure. Ce qui divise par au moins quinze les ennuis, créant ainsi un environnement proche de celui auquel vous êtes habitués depuis votre naissance.
Malgré mes jambes fines, peu puissantes de gijinka manternel je remercie malgré tout chaque matin mon employeur pour ça. Employeur, pas boss.
Une des qualités dont je suis le plus fier, c’est d’être un pragmatique. Giovanni est mon employeur, il me paie d’ailleurs un salaire mirobolant, qui me permettra quand je prendrais ma retraite d’acheter un véritable palace n’importe ou dans la région de kanto ou ailleurs, mais il n’est pas mon « dieu », comme pour beaucoup de faible d’esprit le pensent autour de lui… Et je sais ce qu’il en est vraiment.
Un dieu n’est pas terrifié et cloîtré dans son château, derrière ses hommes. Vous avez entendu parler de cette nouvelle organisation, venue contester la suprématie de la toute puissante team rocket ?
Croyez moi, la seule chose que vous espérez, c’est que quand la tempête touchera votre repaire, celui-ci résistera à la vague… Ou que vous survivrez suffisamment longtemps pour convaincre le camp adverse de votre utilité… Mais trêve de vaine réflexion, place au travail. Je suis là en train de gober à l'entrée du labo quand j'entrevois soudain une lumière bleue, ressemblant à un tir de glace, par la baie vitrée du laboratoire. Par réflexe je tourne complètement ma tête vers elle, mes yeux manque de fondre devant la lumière aveuglante de l’impact de la chose avec le mur et me voilà par terre, me cognant bien trop fort à mon goût mon inestimable cerveau contre le sol métallique.
Des cris, des alarmes… Ma vision se trouble, et l’éclairage de secours est trop faible pour m'aider et ainsi me donner une meilleure vue. Lentement, je tourne la tête vers l’entrée, ou une douzaine de garde sont retranchés, en embuscade. Mon propre garde du corps qui me suivait depuis tout à l'heure attends lui aussi, l’arme braqué comme ses pairs vers la porte.
Mes collègues scientifiques quand à eux, ont l’air de vouloir se fondre dans le mur droit de la pièce. Ils ont peur, bizarrement moi aussi, mais je ne le montre pas, soudain une voix que je connais, mon gardien assurément :
- Ils ont fait une percée. Les electrode vont être déployés bientôt.
- On a une idée de leur nombre?
Une voix résonne soudain, provenant d'un talkie :
- Ils ne sont que quelques uns, moins d’un dizaine certainement.
- Ils sont fous de nous attaquer avec si peu d’homme…
Puis la nouvelle tombe:
- Certains hommes auraient aperçu Cute la cinglée pénétrer dans la base.
Le début de courage des membre de la team rocket semblent fondre comme neige au soleil.
- Par Arceus…
- Et maitre Giovanni ?
- Aucune confirmation pour le moment, mais on l'a aperçu au niveau moins trois… Qu’est-ce que… Attention, à la sécurité des laboratoires, le groupe ennemi semble se diriger vers vous!
Vous n’avez pas le temps d’en entendre plus quand la baie vitrée explose soudainement dans une explosion verte. Vous vous retrouvez cloué au sol, incapable du moindre mouvement.
Dans cette position pathétique, vous remarquez vos gardes se retourner pour faire face à la nouvelle menace.
Deux lames verte d’énergies jumelles jaillissent de la fumée pour traverser deux hommes comme du beurre. Une étrange formation de glace apparaît ensuite autour de trois autres gardes telle une bulle de savon posée sur une table. Puis la bulle se compressent d’un coup. Le temps semblent ralentir alors que vous voyez ces trois solides gaillards écrasés l’un contre l’autre, puis compacté dans un concert de craquements et de bruit spongieux qui vous soulèvent la valve cardiaque. Vous n’avez pas déjeuné, quelle chance fantastique! La boule de glace se relâche enfin les morceaux de chairs qu’elle contient dans un bruit flasque.
Déjà au bord de l’évanouissement, vous avez ensuite l’occasion de voir les têtes de deux des derniers membres de la team tomber dans un bruit proche d'une pastèque, oui pourquoi une pastèque ? Pourquoi vous souvenir à ce moment précis d'un jeu d'enfant, ce détail paraît incongru et pourtant vous ne pensez plus qu'à cela... Malheureusement la pastèque est bientôt suivit par le corps qui va avec, puis encore un autre, dont le cou profondément entaillé asperge d’hémoglobine le dos des quatre rescapés, tellement terrifiés qu’ils ne songent pas à tenter de fuir...
Vous comprenez la raison de leur terreur quand vous voyez un gigantesque créature blanche sortirent de la fumée a pleine vitesse, poussant un hurlement bestial, sans conteste, un gijinka polagriffe.
La suite ne peut être exprimée avec des mots, tant le massacre est répugnant.
Puis le calme… De la poussière glacée s'achève de tomber, et vous n’entendez plus que le bruit des explosions lointaines et des cris guerriers étouffés. Ce géant pâle de peau, un visage à glacer le sang prolongé par un bouc allant du blanc pur vers une sorte de gris-bleu selon l'angle ou on le regarde. Son long manteau blanc taché de sang, il se présente, stoïque et droit comme une statue au milieu des corps massacrés. Il semble regarder le vide devant la porte. Puis sa voix exceptionnellement grave s’élève avec calme:
- Cute, arrêtes de jouer, on a du travail.
Un rire très doux accueille la réflexion, précédant l’apparition derrière l'entrée de la porte d’une créature étonnante. Vous n’êtes pas vraiment amateur des autres espèces, mais la femme qui se tient devant le géant attire vraiment vos yeux.
Très loin de faire la taille du polagriffe, vêtu d’une robe jaune verte moulante, des gants marrons, une queue en forme de feuille flottant de droite à gauche de manière joyeuse, les jambes et la taille, semblant virevolter gracieusement autour de la flaque de sang à ces pieds.
Vous remarquez aussi une sorte de lame énergétique verte,dont coule du sang, se rétractant doucement pour disparaître au niveau du poignet de la jeune femme.
Vous êtes alors révulsé de la voir porter le sang de son poignet, recueilli dans sa main, à sa bouche, avant de le boire avec un plaisir évident voir indécent. Et, vous devez bien l’admettre, quelque peu excitant, même pour un vieux scientifique comme vous… Une voie envoûtante répond alors au grand blanc :
- Je ne joue pas kapo… Il faut que je mène à bien ma vengeance. Ajoute-elle avec un sourire désarmant… mais totalement futile face au géant:
Il la regarda sans croire une seule seconde ce qu'elle venait de dire, mais au diable la vérité, la mission d'abord !
-Tu pourras continuer ta vengeance plus tard ! La base regorge de soldats, tu auras le sang que tu souhaites, mais pour l’instant nous devons nous occupez des scientifiques.
Vos yeux revoit alors la bataille qui a précédé d’un autre œil, et cette fois, c’est vous qui êtes massacré, décapité, broyé, congelé et transpercé. Et vous n’arrivez pas à décider quelle mort vous préférez… Mais le polagriffe maculée de sang se retourne soudain vers la baie fracassé avant de hurler:
- 26, 24,29 ! Vous attendez quoi? Grouillez vous!!
Et trois nouveaux venus s’invite à ce que vous voyez déjà comme un massacre générale. Un jeune homme, une crête rouge sur la tête et une écharpe d'un blanc crème rappelant étrangement un galifeu se retrouve rapidement à coté de ce qui semble être le chef, suivi de deux autres gijinka habillé d'argent et de noir, une mèche rebelle… Des jumeaux étouraptor ! Vous n'en aviez jamais vu encore.
Enfin, l'immense gijinka habillé de blanc se tourne vers vous et vos collègues, toujours scotchés au sol. Un sourire amusé apparaît alors sur son visage quand il vous interpelle :
-Alors, on a fait dans sa culotte, les filles ? On essaye même pas de fuir ? Remarque, pas facile avec les ficelles qui te servent de jambe hein? Aucun rire ne réponds à la mauvaise blague me concernant. Durant le laps de temps, la belle plante s'était avancée vers moi.
Puis elle s’agenouilla. Je ferme les yeux, attendant de sentir la lame énergétique me trancher la gorge. Mais tout ce que j'entends est la voix plus calme que je ne le pensais qui me dit doucement:
- Ton patron va bientôt faire faillite, un boulot, ça t’intéresse, toi et tes collègues?
Oui… Chaque jour de ma vie est différent, toujours empli de nouveauté, intrigante, voir étrange parfois…
Cute
Mon cher journal, si tu savais...
Aujourd'hui j'ai eu l'obligation de faire équipe avec d'autre gijinkas...Brrr, j'en frissonne encore, il y avait un gijinka polagriffe, un stupide poulet cracheur de feu et des jumeaux étouraptor. mais tu sais le pire ? Ils portent bien leur nom ces co*s là, le premier gars a taillé mais surtout congelé tout ce qui se trouvait sur son chemin ! Congelé pu!$n*!! ! Honnêtement j'espère ne jamais recommencer à bosser à plusieurs, ils n'ont aucun style, ils sont dégoûtant et pire que tout ! Je les ais même vu laisser en vie des humains qui fuyaient, du grand n'importe quoi, heureusement que j'étais là pour finir le travail ! Mais... En réalité ce n'est même pas cela le pire... Le pire c'est que j'ai dû laisser des humains en vie... Tout ça parce qu'ils étaient soit disant des scientifiques importants pour l'ordre... Mon c*l ! Ils n'en restent pas moins des humains et je les aurais un jour ! Tu verras mon cher journal, j'aurai tout les humains ! Tu le sais n'est ce pas ?
Je pense d'ailleurs que je ne recommencerai pas l'expérience, la prochaine fois que j'ai le patron au téléphone, je n'accepterai que si la mission est en solo.
Ah si ! J'allais oublier, j'ai une bonne blague malgré tout à te raconter, tu vas voir mon cher journal, elle te fera bien rire, j'en suis certaine.
Tu vois ces scientifiques dont je te parlais tout à l'heure, on les a embarqués dans des camions, toute l'évacuation s'est passé sans problème. Je me retrouvais seule en lisière de forêt pour terminer le ménage, j'allais lancer une eco-sphère pour détruire la base quand j'ai remarqué des mouvements au niveau de celle ci.
Tu ne devineras jamais qui c'était ! Allez je t'aide, parce que voir ce crétin arriver trop tard était magique, il s'agissait de cet idiot de Jason ahaha ! Tu l'aurais vu, ça valait bien le coup de devoir travailler avec ces incompétents, il gesticulait dans tout les sens, sans même penser à regarder vers la forêt, vers moi... Et dans un sens tant mieux d'ailleurs, je déteste l'idée de fuir un combat, mais il est hors de question pour moi de combattre un gijinka.
Bien, ce n'est pas tout ça mon cher journal, mais je vais aller me reposer, ces quatre idiots m'ont fatiguée, je reviendrai vers toi très vite, c'est promis...
Ce texte n'est pas totalement imaginé par moi même, mais disons que la base m'a tellement inspiré que j'ai voulu absolument écrire dessus.
Les aléas de la vie, ou simplement la vie ?
Labo de safrania
La vie est parfois bizarre…
On peut passer une vie entière sans que quoi que se soit de notable n’arrive… Ou avoir une vie pleine de péripéties toutes plus incroyables les unes que les autres… Ou un mélange des deux…
Moi par exemple. Je me réveille tôt ce matin comme à mon habitude, je jette un coup d’œil blasé au mobilier spartiate de ma chambre de métal. Depuis combien d’années ais-je ce genre d’appartement? Je ne me souviens même plus. Passant rapidement une blouse blanche sur mon pull vert, je sors tout aussi vite, saluant d’un léger signe de tête mon garde du corps/protecteur/geôlier qui m'emboîte le pas sans dire un mot. Il faut reconnaître qu'il y a de nombreux « avantages » à ma fonction. Je passe rapidement devant le mess de la section plante pour me diriger vers mon laboratoire.
Cela me prends plusieurs minutes, comme chaque jour. Cette forteresse est tellement immense.
Lorsque enfin j'arrive, mon humeur maussade s’améliore quand même lorsque je pose mes yeux pas encore tout à fait bien réveillé sur les installations. La crème de la technologie assurément, ainsi qu’une équipe de chercheur parmi les meilleurs des meilleurs. Et le plus agréable, c’est que c’est moi, oui, moi le chef, le patron, l'amiral à bord.Dans ce laboratoire, il n’y a plus de Giovanni qui tienne, le boss, c’est moi !
Il faut quand même admettre que j'en ai bavé pour en arriver là.
J'ai travaillé si dur toute ma vie pour en arriver a être finalement sélectionné pour venir ici, dans ce laboratoire secret, dans le bastion du patron lui-même il y a maintenant deux ans.
Bien sur, toute médaille à son revers, et la ville elle-même est le plus gros revers que vous ayez jamais vu… De la rocaille, des pluies continuelles… Un coup de chance, la concentration de scientifiques dans les locaux de la forteresse à convaincu Giovanni d’installer des compartiments différents selon les gijinka et humains présents dans toute la structure. Ce qui divise par au moins quinze les ennuis, créant ainsi un environnement proche de celui auquel vous êtes habitués depuis votre naissance.
Malgré mes jambes fines, peu puissantes de gijinka manternel je remercie malgré tout chaque matin mon employeur pour ça. Employeur, pas boss.
Une des qualités dont je suis le plus fier, c’est d’être un pragmatique. Giovanni est mon employeur, il me paie d’ailleurs un salaire mirobolant, qui me permettra quand je prendrais ma retraite d’acheter un véritable palace n’importe ou dans la région de kanto ou ailleurs, mais il n’est pas mon « dieu », comme pour beaucoup de faible d’esprit le pensent autour de lui… Et je sais ce qu’il en est vraiment.
Un dieu n’est pas terrifié et cloîtré dans son château, derrière ses hommes. Vous avez entendu parler de cette nouvelle organisation, venue contester la suprématie de la toute puissante team rocket ?
Croyez moi, la seule chose que vous espérez, c’est que quand la tempête touchera votre repaire, celui-ci résistera à la vague… Ou que vous survivrez suffisamment longtemps pour convaincre le camp adverse de votre utilité… Mais trêve de vaine réflexion, place au travail. Je suis là en train de gober à l'entrée du labo quand j'entrevois soudain une lumière bleue, ressemblant à un tir de glace, par la baie vitrée du laboratoire. Par réflexe je tourne complètement ma tête vers elle, mes yeux manque de fondre devant la lumière aveuglante de l’impact de la chose avec le mur et me voilà par terre, me cognant bien trop fort à mon goût mon inestimable cerveau contre le sol métallique.
Des cris, des alarmes… Ma vision se trouble, et l’éclairage de secours est trop faible pour m'aider et ainsi me donner une meilleure vue. Lentement, je tourne la tête vers l’entrée, ou une douzaine de garde sont retranchés, en embuscade. Mon propre garde du corps qui me suivait depuis tout à l'heure attends lui aussi, l’arme braqué comme ses pairs vers la porte.
Mes collègues scientifiques quand à eux, ont l’air de vouloir se fondre dans le mur droit de la pièce. Ils ont peur, bizarrement moi aussi, mais je ne le montre pas, soudain une voix que je connais, mon gardien assurément :
- Ils ont fait une percée. Les electrode vont être déployés bientôt.
- On a une idée de leur nombre?
Une voix résonne soudain, provenant d'un talkie :
- Ils ne sont que quelques uns, moins d’un dizaine certainement.
- Ils sont fous de nous attaquer avec si peu d’homme…
Puis la nouvelle tombe:
- Certains hommes auraient aperçu Cute la cinglée pénétrer dans la base.
Le début de courage des membre de la team rocket semblent fondre comme neige au soleil.
- Par Arceus…
- Et maitre Giovanni ?
- Aucune confirmation pour le moment, mais on l'a aperçu au niveau moins trois… Qu’est-ce que… Attention, à la sécurité des laboratoires, le groupe ennemi semble se diriger vers vous!
Vous n’avez pas le temps d’en entendre plus quand la baie vitrée explose soudainement dans une explosion verte. Vous vous retrouvez cloué au sol, incapable du moindre mouvement.
Dans cette position pathétique, vous remarquez vos gardes se retourner pour faire face à la nouvelle menace.
Deux lames verte d’énergies jumelles jaillissent de la fumée pour traverser deux hommes comme du beurre. Une étrange formation de glace apparaît ensuite autour de trois autres gardes telle une bulle de savon posée sur une table. Puis la bulle se compressent d’un coup. Le temps semblent ralentir alors que vous voyez ces trois solides gaillards écrasés l’un contre l’autre, puis compacté dans un concert de craquements et de bruit spongieux qui vous soulèvent la valve cardiaque. Vous n’avez pas déjeuné, quelle chance fantastique! La boule de glace se relâche enfin les morceaux de chairs qu’elle contient dans un bruit flasque.
Déjà au bord de l’évanouissement, vous avez ensuite l’occasion de voir les têtes de deux des derniers membres de la team tomber dans un bruit proche d'une pastèque, oui pourquoi une pastèque ? Pourquoi vous souvenir à ce moment précis d'un jeu d'enfant, ce détail paraît incongru et pourtant vous ne pensez plus qu'à cela... Malheureusement la pastèque est bientôt suivit par le corps qui va avec, puis encore un autre, dont le cou profondément entaillé asperge d’hémoglobine le dos des quatre rescapés, tellement terrifiés qu’ils ne songent pas à tenter de fuir...
Vous comprenez la raison de leur terreur quand vous voyez un gigantesque créature blanche sortirent de la fumée a pleine vitesse, poussant un hurlement bestial, sans conteste, un gijinka polagriffe.
La suite ne peut être exprimée avec des mots, tant le massacre est répugnant.
Puis le calme… De la poussière glacée s'achève de tomber, et vous n’entendez plus que le bruit des explosions lointaines et des cris guerriers étouffés. Ce géant pâle de peau, un visage à glacer le sang prolongé par un bouc allant du blanc pur vers une sorte de gris-bleu selon l'angle ou on le regarde. Son long manteau blanc taché de sang, il se présente, stoïque et droit comme une statue au milieu des corps massacrés. Il semble regarder le vide devant la porte. Puis sa voix exceptionnellement grave s’élève avec calme:
- Cute, arrêtes de jouer, on a du travail.
Un rire très doux accueille la réflexion, précédant l’apparition derrière l'entrée de la porte d’une créature étonnante. Vous n’êtes pas vraiment amateur des autres espèces, mais la femme qui se tient devant le géant attire vraiment vos yeux.
Très loin de faire la taille du polagriffe, vêtu d’une robe jaune verte moulante, des gants marrons, une queue en forme de feuille flottant de droite à gauche de manière joyeuse, les jambes et la taille, semblant virevolter gracieusement autour de la flaque de sang à ces pieds.
Vous remarquez aussi une sorte de lame énergétique verte,dont coule du sang, se rétractant doucement pour disparaître au niveau du poignet de la jeune femme.
Vous êtes alors révulsé de la voir porter le sang de son poignet, recueilli dans sa main, à sa bouche, avant de le boire avec un plaisir évident voir indécent. Et, vous devez bien l’admettre, quelque peu excitant, même pour un vieux scientifique comme vous… Une voie envoûtante répond alors au grand blanc :
- Je ne joue pas kapo… Il faut que je mène à bien ma vengeance. Ajoute-elle avec un sourire désarmant… mais totalement futile face au géant:
Il la regarda sans croire une seule seconde ce qu'elle venait de dire, mais au diable la vérité, la mission d'abord !
-Tu pourras continuer ta vengeance plus tard ! La base regorge de soldats, tu auras le sang que tu souhaites, mais pour l’instant nous devons nous occupez des scientifiques.
Vos yeux revoit alors la bataille qui a précédé d’un autre œil, et cette fois, c’est vous qui êtes massacré, décapité, broyé, congelé et transpercé. Et vous n’arrivez pas à décider quelle mort vous préférez… Mais le polagriffe maculée de sang se retourne soudain vers la baie fracassé avant de hurler:
- 26, 24,29 ! Vous attendez quoi? Grouillez vous!!
Et trois nouveaux venus s’invite à ce que vous voyez déjà comme un massacre générale. Un jeune homme, une crête rouge sur la tête et une écharpe d'un blanc crème rappelant étrangement un galifeu se retrouve rapidement à coté de ce qui semble être le chef, suivi de deux autres gijinka habillé d'argent et de noir, une mèche rebelle… Des jumeaux étouraptor ! Vous n'en aviez jamais vu encore.
Enfin, l'immense gijinka habillé de blanc se tourne vers vous et vos collègues, toujours scotchés au sol. Un sourire amusé apparaît alors sur son visage quand il vous interpelle :
-Alors, on a fait dans sa culotte, les filles ? On essaye même pas de fuir ? Remarque, pas facile avec les ficelles qui te servent de jambe hein? Aucun rire ne réponds à la mauvaise blague me concernant. Durant le laps de temps, la belle plante s'était avancée vers moi.
Puis elle s’agenouilla. Je ferme les yeux, attendant de sentir la lame énergétique me trancher la gorge. Mais tout ce que j'entends est la voix plus calme que je ne le pensais qui me dit doucement:
- Ton patron va bientôt faire faillite, un boulot, ça t’intéresse, toi et tes collègues?
Oui… Chaque jour de ma vie est différent, toujours empli de nouveauté, intrigante, voir étrange parfois…
Cute
Mon cher journal, si tu savais...
Aujourd'hui j'ai eu l'obligation de faire équipe avec d'autre gijinkas...Brrr, j'en frissonne encore, il y avait un gijinka polagriffe, un stupide poulet cracheur de feu et des jumeaux étouraptor. mais tu sais le pire ? Ils portent bien leur nom ces co*s là, le premier gars a taillé mais surtout congelé tout ce qui se trouvait sur son chemin ! Congelé pu!$n*!! ! Honnêtement j'espère ne jamais recommencer à bosser à plusieurs, ils n'ont aucun style, ils sont dégoûtant et pire que tout ! Je les ais même vu laisser en vie des humains qui fuyaient, du grand n'importe quoi, heureusement que j'étais là pour finir le travail ! Mais... En réalité ce n'est même pas cela le pire... Le pire c'est que j'ai dû laisser des humains en vie... Tout ça parce qu'ils étaient soit disant des scientifiques importants pour l'ordre... Mon c*l ! Ils n'en restent pas moins des humains et je les aurais un jour ! Tu verras mon cher journal, j'aurai tout les humains ! Tu le sais n'est ce pas ?
Je pense d'ailleurs que je ne recommencerai pas l'expérience, la prochaine fois que j'ai le patron au téléphone, je n'accepterai que si la mission est en solo.
Ah si ! J'allais oublier, j'ai une bonne blague malgré tout à te raconter, tu vas voir mon cher journal, elle te fera bien rire, j'en suis certaine.
Tu vois ces scientifiques dont je te parlais tout à l'heure, on les a embarqués dans des camions, toute l'évacuation s'est passé sans problème. Je me retrouvais seule en lisière de forêt pour terminer le ménage, j'allais lancer une eco-sphère pour détruire la base quand j'ai remarqué des mouvements au niveau de celle ci.
Tu ne devineras jamais qui c'était ! Allez je t'aide, parce que voir ce crétin arriver trop tard était magique, il s'agissait de cet idiot de Jason ahaha ! Tu l'aurais vu, ça valait bien le coup de devoir travailler avec ces incompétents, il gesticulait dans tout les sens, sans même penser à regarder vers la forêt, vers moi... Et dans un sens tant mieux d'ailleurs, je déteste l'idée de fuir un combat, mais il est hors de question pour moi de combattre un gijinka.
Bien, ce n'est pas tout ça mon cher journal, mais je vais aller me reposer, ces quatre idiots m'ont fatiguée, je reviendrai vers toi très vite, c'est promis...