Haine et Vengeance
Dans la rue sombre, Caché dans le noir
Où tout n'est plus qu'ombre, Synonyme de désespoir
La créature mutilée, Emplie de désarroi
Sans aucune pitié, Un meurtre elle fera
Branette
Où tout n'est plus qu'ombre, Synonyme de désespoir
La créature mutilée, Emplie de désarroi
Sans aucune pitié, Un meurtre elle fera
Branette
Le voeu de l'amour
Oh crépuscule
Dans ce monde infâme
Où trahison pullule
Où le peuple n'a point d'âme
Fait régner l'amour
Puis ce sera mon tour
Sur le reste de la haine
J'abattrai le bonheur
Xerneas
Oh crépuscule
Dans ce monde infâme
Où trahison pullule
Où le peuple n'a point d'âme
Fait régner l'amour
Puis ce sera mon tour
Sur le reste de la haine
J'abattrai le bonheur
Xerneas
Un monde sans règles
Ce monde si étrange, Où gravité n'est plus
Toutes les lois changent, Où la logique a disparu
Une distorsion dit-il, Sans sol ni plafond,
Si étrange parait-il, Inexistante dit-on
Un portail bleuté, Dit-on y mènera
Seul silence et simplicité, Existe là-bas
Zarbi
Ce monde si étrange, Où gravité n'est plus
Toutes les lois changent, Où la logique a disparu
Une distorsion dit-il, Sans sol ni plafond,
Si étrange parait-il, Inexistante dit-on
Un portail bleuté, Dit-on y mènera
Seul silence et simplicité, Existe là-bas
Zarbi
Abysses profondes
Il fait noir. Noir. Sombre.
Dans le noir. Se déplace. Des ombres.
Des algues. Flottent. Dansent.
Peut être. Ai-je de. La Chance.
Où est. Passé. La lumière ?
Où est. Passé. Mon ère ?
Je suis. Enfin. Libéré.
De cette. Prison. D'acier.
Suis-je. Le seul. Ici ?
Où sont. Donc mes. Amis ?
Le temps. Est passé. Trop vite.
Pourquoi. A-t-il. Ce rythme ?
Relicanth
Il fait noir. Noir. Sombre.
Dans le noir. Se déplace. Des ombres.
Des algues. Flottent. Dansent.
Peut être. Ai-je de. La Chance.
Où est. Passé. La lumière ?
Où est. Passé. Mon ère ?
Je suis. Enfin. Libéré.
De cette. Prison. D'acier.
Suis-je. Le seul. Ici ?
Où sont. Donc mes. Amis ?
Le temps. Est passé. Trop vite.
Pourquoi. A-t-il. Ce rythme ?
Relicanth
Le seigneur des ténèbres
Je suis la terreur et le chaos
Je suis la flamme et le fléau
Je suis la pure destruction
De la mort je suis l'incarnation
Je suis d'ailleurs le désespoir
Je suis le symbole du noir
Je suis l'horreur de la nature
Et de la vie je suis la fin
Yveltal
Je suis la terreur et le chaos
Je suis la flamme et le fléau
Je suis la pure destruction
De la mort je suis l'incarnation
Je suis d'ailleurs le désespoir
Je suis le symbole du noir
Je suis l'horreur de la nature
Et de la vie je suis la fin
Yveltal
Le dragon rouge
La protectrice des cieux
Veillant sur la Terre
Faisant plus d'un heureux
De son allure fière
Traversant les nuages
Et survolant les plages
Malgré son certain âge
Rien n'a perdu ses pages.
Latias
La protectrice des cieux
Veillant sur la Terre
Faisant plus d'un heureux
De son allure fière
Traversant les nuages
Et survolant les plages
Malgré son certain âge
Rien n'a perdu ses pages.
Latias
La chasse
Dans ce petit cottage
Caché dans les feuillages
Une haleine si chaude
Une créature rode
De l'électricité dans l'air
Depuis longtemps persévère
Un croc fait d'argent
Du buisson dépassant
Un Hatolo devant jouant
Si jeune, si innocent
Mais le trépas approche
De ses griffes, dures comme la roche
Le chasseur n'est plus patient
Un hurlement dans le champ
Plus d'Hatolo, ce n'est pas beau
Le chasseur repart, les crocs encore tout chauds
Luxray
Le mur
Ce grand mur d'acier,
De pierre, et de gravier,
Ce grand mur tout haut,
Tout large, tout chaud,
Fait de grès beige,
Des remparts, couleur blanc neige.
Des ornements, des gravures,
Décorent joliment ce mur,
Gravé de bribes de phrases étranges,
Et de signes ainsi que d'anges.
Des sculptures, à même la pierre,
Recouvertes de mousse, et de lierre,
En forme de dieux,
En forme de monstres et d'humains heureux,
Sont ici, sur ce mur,
Sur ce mur, sans fin, c'est sûr,
Ce mur, ici depuis milles ans,
Rien n'en émane, ni chant ni vent,
Seulement...
Dans ce petit cottage
Caché dans les feuillages
Une haleine si chaude
Une créature rode
De l'électricité dans l'air
Depuis longtemps persévère
Un croc fait d'argent
Du buisson dépassant
Un Hatolo devant jouant
Si jeune, si innocent
Mais le trépas approche
De ses griffes, dures comme la roche
Le chasseur n'est plus patient
Un hurlement dans le champ
Plus d'Hatolo, ce n'est pas beau
Le chasseur repart, les crocs encore tout chauds
Luxray
Le mur
Ce grand mur d'acier,
De pierre, et de gravier,
Ce grand mur tout haut,
Tout large, tout chaud,
Fait de grès beige,
Des remparts, couleur blanc neige.
Des ornements, des gravures,
Décorent joliment ce mur,
Gravé de bribes de phrases étranges,
Et de signes ainsi que d'anges.
Des sculptures, à même la pierre,
Recouvertes de mousse, et de lierre,
En forme de dieux,
En forme de monstres et d'humains heureux,
Sont ici, sur ce mur,
Sur ce mur, sans fin, c'est sûr,
Ce mur, ici depuis milles ans,
Rien n'en émane, ni chant ni vent,
Seulement...