La majorité des légendes ne sont que des mythes, mais d'autre semble plus vrai que d'autre. Celle-ci va vous mettre dans la peau de Karibou, du peuple Caribou, qui a dû confronté La guerre des Dieux grâce à ses chevaliers. Cette guerre est et restera toujours la plus effroyable guerre meurtrière qui opposa les mortels bipèdes et quadripodes aux invincibles loups qui su dompter la magie pour se propulser au rang de dictateur du monde. Il n'y avait alors plus aucune place pour les autres espèces. Alors, tous commença par une lugubre journée pluvieuse, le soleil était caché par d'innombrable nuage aussi noire que la nuit s'il n'y aurait pas d'étoiles. Karibou, le fils de Lina et Madorn, était escorter à travers l'épais bois du Nord Boréal, pour se rendre dans les champs de la cour de la reine Ydalir, après qu'elle eue tués ses parents, qui étaient considéré comme de nobles conseiller dans leur royaume natales, Quiabiec. Construit à plus des six cents lieues du royaume de Fronlegique, le royaume des Loups, ces animales à quatre pattes avaient forger la hache d'illusion pour faire perdurer la paix. Les champs étaient considérer comme l'endroit de supplice ultime pour les caribous, car ils étaient traité comme leurs lointains cousins, les chevaux, comme des bêtes sans âmes conçu pour servir leurs maitres.
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Une heure de marche plus tard, le jeune animal arriva avec son escorte dans un petit camp où tous étaient fait de bois et de roches. La fine toile qui recouvrait la tente se constituait d'écorce d'arbre finement entrelassé pour faire un fibre résistantes. Le ciel s'est dégagé et les pauvres nuages restants sont transpercer par le soleil flamboyant. L'ombres des arbres finissant sur le sol escarpé fait penser à leur mâtiné. Bigby et Celenn, l'escorte de Mitch, voulaient prendre une pause. Celenn avait le pelage noir comme la grotte d'un grizzli, aussi sombre qu'une éclipse Solaire. Toujours accompagner de sa dague empoisonner, la rôdeuse traîne toujours au moins cent Corre, La monnait officiel mondial. Bigby, lui, est voilé pour ne pas montré ses blessure. Son arme de prédilection, le bon vieux Karune, le sabre traditionnel des Loups. À proximiter du camp se trouva un petit ruisseau où l'eau est aussi pur que le coeur de Mysriam, le cheval noire aux yeux bruns noisette qui fût adopté des sa naissance par la reine, qui dévala les pentes escarpées de cette forêt jusqu'à la plaine blanche, là où la neige ne s'arrête jamais. L'animal aux bois majestueux s'approcha de la source. Celenn sorti sa dague par précaution. Bigby, pendant ce court instant, lâcha un coup d'œil sur la carte que l'héritière illégitime lui avait donnée avant qu'il parte loin de son amour interdit.
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Non loin de là, un paresseux enjambait sur son destrier ailé au bec d'or, aussi fidèle ami, dont les plumes blanches aux extrémités peuvent se camoufler parfaitement dans les cieux. Yorel, l'animal presque aussi lent qu'une tortue, était recouvert d'une épaisse fourrure beige. Il trainait toujours avec lui son Lorimok, le sabre dont la lame est courbé pour retenir les coups des adversaires. L'autre, l'oiseau, était un aigle royale dont la vision ne présentait aucun défaut, regarda à l'horizon et aperçu les falaises aux pentes arides et l'étendue couverte de neige immaculé un peu plus loin. L'aigle informa le primate de sa découverte qu'il remarqua en avant de lui, Le plus rapidement, le plus lent lui demanda de s'approcher de la montagne boisé dont les flancs était apiques. Il lui disait aussi s'il voyait quelque chose dans la forêt verte de feuillus et de conifères. L'oiseau expliqua à son ami poilu qu'il y avait deux loups et un caribou. Ils décidaient d'aller voir ce qu'il se passa sur le mont.
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Bigby regarda le ciel, quand soudain il aperçu une forme étrange noir qui volait sans répit contre les vents du nord. Il se rendit compte que l'animal volant s'approchais dangereusement du prisonnier. Dans un excès de colère, Karibou assomma le loup équipé du Karune et pris sa hache d'illusion. Il créa alors un tourbillon de courant d'air qui repoussa Celenn qui sortait sa dague. Tout de suite, il créa un brouillard intense qui aveugla les loups et couru vers la plaine blanche. L'aigle dissipa le brouillard autour de lui et regarda le caribou s'échapper vers une mort certaine. À toute allure, Gent, l'animal ailé, essaya de rattraper le quadripode à la fourrure brune foncé. Yorel, le paresseux, toujours sur le dos de son ami, sorti un bonnet de son armure de guerrier.
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